Devis étudié selon les besoins et sur demande
journées 1 et 2:
Le bureau
Le bloc note
L’explorateur
Mes documents (création de dossiers)
Le traitement de texte
Le tableur
Paint
Power point
les périphériques de l’ordinateur
journées 3 et 4:
les différentes connexions
outlook express et windows mail
le navigateur (surfer)
les sécurités
les lieux de discussions
les réseaux
FORMATIONS/TRAVAILLEURS D’ESAT :
- législation simplifiée 1 journée)
les apports de la loi de 2002
les apports de la loi de 2005
- informatique niveau 1 (4 journées)
2 premières journées :
traitement de texte
tableur
bloc note
enregistrer un fichier
l’explorateur
mises en garde
2 dernières journées :
envoyer un e-mail
envoyer un pièce jointe
liste de diffusion
forum
chat
surfer sur internet
Formation en intra envisageable sur une ou deux semaines selon les items demandés. Un devis sera étudié selon les besoins
Selon l’importance du projet, un collaboration possible avec un organisme agréé (GERFI+) peut être étudiée
Construction de l’activité :
A – Moyens humains :
I) Tester parmi les volontaires les capacités à suivre le rythme avec les tests d’apprentissage de la lecture sur le papier (batterie d’Inizan)
II) Reproduire le rythme vu sur le papier
III) Faire des groupes de niveaux
B – Choix des moyens en matériel
I) Percussions simples avec les moyens du bord
II) Percussions plus évoluées
III) Instruments mélodiques
IV) Le chant
V) MAO
C – Définir les objectifs
I) Défoulement
II) Apprentissage de l’écoute (reconnaître les instruments, reconnaitre les styles)
III) Se détendre avec la musique
IV) S’exprimer par la musique
V) Insertion
D – Définir un budget
I) Confectionner des instruments à percussion
II) Connaître les adresses spécialisées
III) Savoir prospecter
E – Durée et fréquence de l’activité
I) l’apprentissage
II) le travail individuel
III) l’activité
IV) les répétitions si prévision de spectacle
F – Quelle finalité peut-on apporter ?
- Faire un CD
- Faire un spectacle
- S’insérer dans un groupe existant
G – Des exemples (Internet, vidéoprojecteur)
- Signes Particuliers de Troyes (10)
- Les Haricots Verts de Froncles (52)
- Tetra Lyre
- Contre silence Marseille
Formation proposée sur 2 semaines un devis peut être soumis sur demande et selon les besoins
Selon l’importance du projet, un collaboration possible avec un organisme agréé (GERFI+) peut être étudiée
COMMENT CREER UN SITE INTERNET DANS UN ETABLISSEMENT
1) l’importance de la motivation et de la collaboration
- chaque membre de l’équipe de professionnels doit se sentir concerné
- les usagers peuvent aussi être sollicités
2) La forme :
A) La préparation :
Le plan détaillé (doit comprendre tous les fichiers, images, sons et texte)
Les textes fournis (sous quelle forme)
Choisir une idée d’ambiance générale
B) La programmation :
- ce qui est proposé sur internet
- les logiciels existants
- comment programmer
C) Ajouter un forum
D) Proposer une liste de diffusion
E) proposer un chat
F) Ajouter des liens
3) le suivi :
- le partage des taches
- la fréquence du suivi des messages
- la mise à jour du site
Formation à réaliser sur 2 jours – Devis étudié sur demande
Objectifs :
- Permettre aux stagiaires d’améliorer leur perception d’eux mêmes et l’image qu’ils reflètent auprès d’autres personnes. Développer une image valorisante.
Méthodes :
- mise en confiance des stagiaires afin qu’ils s’expriment sur son vécu et ses difficultés.
- Un travail sur soi sera inspiré de théories visant à aider les personnes à déterminer leurs priorités.
Programme :
• M’estimer:« Qu’est ce que j’ai fait de bien? »
• M’organiser:Trouver ma priorité et agir en conséquence
• M’affirmer: Faire face à l’échec,apprendre à positiver
• Combattre mon stress: Exercices de relaxation
• Travailler sur l’idée :« J’existe, je suis capable et je le prouve. »
Formation de 3 à 5 jours selon demande : en intra ou à domicile. Devis étudié selon les besoins
1- GENERALITES
- ce qu’il faut savoir sur l’informatique et internet
-utilisation de la souris
-familiarisation avec le clavier
-je crée un dossier
-je crée un sous dossier
-l’explorateur mises en garde
2 – LES LOGICIELS DE BASE
- le bloc notes
-bases d’utilisation de Word
-bases d’utilisation d’EXCEL
- paint
3 – INTERNET
-le navigateur
- je communique sur Internet (chats, forums, listes de diffusion, blogs)
-créer un compte dans outlook express ou windows mail
-recevoir un mail
-envoyer un mail
-envoyer une pièce jointe
-recevoir une pièce jointe
-surfer sur internet
-enregistrer des favoris
Formation à réaliser sur 5 journées. Devis étudié selon les besoins sur demande
Selon l’importance du projet, un collaboration possible avec un organisme agréé (GERFI+) peut être étudiée
1- L’informatique et les personnes handicapées :
Que pouvons-nous faire en informatique avec des personnes handicapés ?
Définition des temps d’utilisation
Périodicité
Rythme de la pratique informatique
Quelques règles supplémentaires
2- Les différents programmes éducatifs adaptés :
Découverte et manipulation des logiciels éducatifs
Action éducative
Construction d’un parcours évolutif
3- Découverte et construction d’une application en langage clair :
La communication adaptée
Création de documents en langage adapté (exemple : calendrier)
4 – Communiquer sur internet
- LISTE DE DIFFUSION INTER-ETABLISSEMENTS
En fait ce n’est pas Internet qui est important, c’est la possibilité de communiquer avec d’autres et il se trouve que les Nouvelles Technologies existent et sont présentes dans la vie quotidienne de plus en plus. Aussi pour permettre aux personnes en situation de handicap de vivre comme chacun d’entre nous, pour ne pas les mettre à l’écart des Nouvelles Technologies et en raison de leur attirance pour l’ordinateur, nous nous donnons les moyens de faire en sorte que l’ordinateur ne soit pas un luxe mais un outil pour leur faciliter la vie.
- LES FORUMS
- LES CHATS
5 – Quelques travaux différents à réaliser avec les personnes handicapées
DESSINER
Commencer par utiliser des logiciels simples comme Babydraw
L’utilisation de Paint
CREATION D’AFFICHES
Se poser d’abord la question :
A qui s’adresse cette affiche ? Si elle s’adresse aux gens du quartier elle ne sera pas réalisée de la même façon que si elle s’adresse à des enfants ou adultes déficients intellectuels.
CREATION D’UN JOURNAL :
- LA PROCEDURE
- PLAN DU JOURNAL : réfléchi avec les adultes sur l’exemple d’un quotidien
- ETUDE DU CONTENU
- ETUDE DE LA FORME A ADOPTER (présentation en colonnes, insertion de photos)
CREATION D’UN BLOG
REGLES ET ASTUCES :
- Aide à la prononciation avec le magnétophone de Windows
- Affichage facile solide et remodelable pour une meilleure compréhension
- Planning photos pour indiquer la présence des éducateurs dans l’établissement
etc.
Formation à réaliser sur une journée. Devis étudié selon les besoins à la demande
La communication adaptée, de quoi parle-t-on ? :
Définition, illustration.
Analyse de situations.
Le langage clair ou parlé simplifié :
Les apports de la Communauté Européenne.
Les règles à respecter dans la communication écrite.
La communication aidée :
Les propositions de l’UNAPEI : communication orale, accès à l’écrit, modes de communication alternatifs, etc.
La pratique des pictogrammes :
Banque de pictogrammes
Utilisation de photos
Faire avec les moyens du bord
Un seul but aider les personnes à communiquer
Exercices pratiques
Formation à réaliser sur 2 journées. Devis étudié selon les besoins à la demande
1° Le vécu des personnes et des familles à travers :
L’annonce du handicap,
L’accueil parental.
Les relations famille-professionnels
Définitions et origines de la déficience mentale :
Différences entre maladie et handicap mental.
La notion de déficience intellectuelle.
Les origines de la déficience.
Les difficultés rencontrées par les personnes.
Les besoins spécifiques des personnes handicapées. Le constat de terrain
Les différents types de handicaps :
Trisomie 21.
Troubles du développement.
Troubles caractériels.
Les enfants maltraités.
2° Les établissements de prise en charge des personnes déficientes intellectuelles de l’enfance au vieillissement :
Les établissements d’enfants et l’intégration scolaire
Les lieux de vie (MAS, FAM …)
Les établissements d’hébergement (foyer d’hébergement, foyer-résidence, appartements…)
Les établissements de travail (ESAT, EA….)
Le parcours d’une personne accueillie. (De l’IME à la Maison de Retraite)
Formation à réaliser sur 2 ou 3 journées. Devis étudié selon les besoins à la demande
1° La notion de besoin :
A partir de la théorie des besoins humains selon A. Maslow : physiologiques, sécurité, appartenance, etc.
Analyse des besoins spécifiques des personnes accueillies
Déclinaison de la notion de satisfaction des besoins au regard des handicaps.
Etudes de cas
2°Les besoins fondamentaux selon V. Henderson.
Comparaison avec la pyramide d’A. Maslow
Rôles médical et éducatif, quelles différences?
3° Affectivité et relations dans le travail social :
Vivre la relation professionnelle
Comprendre la solitude affective de la personne déficiente
La perception de l’autre par la personne déficiente
Etude de situations professionnelles
Formation à réaliser sur 2 journées. Devis étudié selon les besoins à la demande
1ère journée : droits et devoirs des personnes déficientes intellectuelles
Je travaille en ESAT pourquoi ?
Qu’est ce qu’un ESAT ?
Qu’est ce que la CDA ?
Je suis hébergé en foyer pourquoi ?
Qu’est ce qu’un foyer d’hébergement ou un foyer résidence ?
Que peux m’apporter le foyer ?
Charte des droits et des libertés adaptées
Avec power point et pictogrammes
2ème journée : Le Conseil de la Vie Sociale
Qu’est ce que le CVS ?
Quel est le rôle d’un délégué au CVS ?
Avec Power Point et Livret remis aux stagiaires
Logiciel éducatif créé pour cette formation, chaque stagiaire devra y travailler
Formation à réaliser sur une durée pouvant aller de 2 à 5 jours. Devis étudié selon les besoins sur demande
L’accompagnement à l’emploi demande souvent une aide à la personne dans sa recherche d’identité et de sa place dans la société. Pour y parvenir, elle doit passer par 5 étapes importantes :
1) S’estimer :
Comment quitter cette image : « comme je n’ai jamais cru en moi, je végète… »
Les questions à se poser pour mieux se connaître, s’accepter et agir
Savoir répartir les rôles selon les compétences de chacun
2) S’affirmer :
Faire face à l’échec,
Savoir positiver
Mesurer les avantages et les inconvénients
3) S’organiser :
Tracé d’un schéma à partir du processus du mind mapping, pour clarifier les choix personnels en tenant compte des besoins, désirs, priorités et contraintes
4) Combattre le stress :
Exercices à partir de 3 théories de relaxation :
- training autogène
- détente musicale
- visualisation créatrice
Afin que chaque stagiaire s’approprie celle qui lui convient le mieux
5) Prendre confiance en soi, se recréer :
Travailler sur l’idée : « j’existe, je suis capable et je le prouve »
- correspondre et surfer sur internet
- apprendre à utiliser les technologies modernes (téléphones portables, bornes automatiques, appareil photo numérique)
- créer des cartes de vœux
- s’exprimer par la création artistique
- trouver son propre style
D’une manière générale il est important que l’éducateur responsable de son activité maîtrise un minimum l’outil informatique ou qu’il se forme.
En effet, pour ne pas faire perdre de temps aux personnes qu’il encadre, ainsi que sur la connexion s’il n’y a pas l’ADSL, il est indispensable qu’il ne cherche pas comment faire et qu’il ait de l’assurance. Il ne faut pas non plus que l’éducateur envoie par mails, des fichiers sons ou images qui soient trop lourds et donc trop longs à recevoir pour les personnes qui les reçoivent. Il faut alors que ces fichiers soient compressés. Il faut aussi que l’éducateur sache qu’il peut préparer les messages hors connexion au lieu de se dire que c’est difficile de les faire écrire vite parce qu’ils ont des difficultés et que cela va coûter cher…. Il est préférable aussi que l’éducateur soit capable de protéger l’activité par un anti-virus.
Il est important également de tenir informé l’Equipe et la Direction de l’avancée du projet et des bienfaits de l’utilisation de l’ordinateur afin de convaincre les réfractaires à l’informatique de l’importance de cet outil pour les usagers.
La première étape à surmonter pour chaque adulte, sera de s’adapter à une situation nouvelle. C’est un défi pour chacun d’eux (et pour les éducateurs). Pour comprendre l’ampleur de ce défi, il suffit de considérer que pour utiliser l’informatique, il faut adopter un nouveau langage, de nouveaux réflexes, une certaine logique. Mais surtout, apprendre à ne pas faire certaines manipulations qui peuvent détériorer l’ordinateur. Le but n’est pas que les adultes deviennent des professionnels de l’informatique, mais il faut un minimum de connaissances pour l’utilisation.
Une telle activité devrait aider ces personnes à maintenir et développer les acquis :
• Au niveau de la motricité : les repères spatiaux-temporaux.
• Au niveau de la mémoire
• Au niveau du raisonnement
• Au niveau de l’attention et de la concentration
Elle commence par un langage clair, Le Langage Clair ou Parlé Simplifié impulsé par la Communauté Européenne.
Le Langage Clair, qu’est-ce que c’est ? Voir page Langage Clair : http://www.siwadam.com/hmm/e3.htm
Reprises de cette page et applications :
Le concept » langage clair » n’est pas universel. Il est donc impossible d’écrire un texte qui s’adapte aux capacités de tous ceux qui ont des problèmes de lecture et de compréhension. Toutefois, le texte en langage clair est généralement caractérisé par:
L’usage d’un langage simple, sans détours.
Depuis quelques temps le Directeur National du Sport Adapté au Cameroun échange avec plusieurs participants d’établissements différents, dont le foyer de Verdun, sur Internet. Il se met à leur niveau pour répondre à leurs nombreuses questions par des phrases simples.
L’échange entre des groupes d’IMC, un participant mal voyant et des personnes déficientes intellectuelles se passe d’autant mieux que les questions sont directes et simples « comment tu fais? »
La présence d’une seule idée maîtresse par phrase. Exemple : récemment j’ai entendu un dialogue entre une résidente et une éducatrice :
« - je ne veux pas aller au voyage
- qu’est ce que tu vas faire alors?
- je veux dessiner
- si je comprends bien tu préfères dessiner au foyer que manger avec nous sur le bateau?
- non tu comprends rien, je veux pas aller sur le bateau! »
L’absence de langage technique, d’abréviations et d’initiales.
Une structure claire et logique.
Il est relativement facile de traiter de sujets simples et concrets ; plus difficile est la description de concepts abstraits, à faire comprendre aux personnes déficientes intellectuelles. L’abstraction est à éviter autant que possible. Si le concept abstrait est incontournable, illustrez le d’exemples concrets.
Exemple : pour une personne qui ne se repère pas dans le temps, représenter l’heure du lever par un réveil, le matin par un bol, 23h par un lit, le dimanche par une église etc. Pour savoir quel pictogramme convient le mieux pour leur compréhension, le mieux est de leur demander leur avis.
Au foyer où j’ai travaillé, les plannings étaient illisibles pour les résidents. Avec les personnes concernées, j’ai mené une réflexion sur le « comment faire? » La solution a été trouvée avec des pictogrammes et des photos. Ainsi il est devenu plus facile pour eux de repérer quand leurs référents sont présents. (voir trucs et astuces dans la partie Informatique de ce site).
Un langage simple et sans détours ne signifie pas infantile ou simpliste. Si l’information s’adresse principalement à des lecteurs adultes elle doit être écrite et présentée en une forme appropriée à leur âge.
L’aspect graphique de l’information a son importance. Photos, images ou symboles devraient expliciter le texte au maximum. Ces illustrations doivent s’expliquer par elles-mêmes et constituer un complément clair. La mise en page du texte et des illustrations doit être considérée avec attention.
Le public le plus large possible devrait être capable de comprendre une publication en langage clair. En voici donc la définition :
Elle ne contient que l’information essentielle, elle est écrite et présentée de la manière la plus directe qui soit, afin qu’un public le plus large possible la comprenne.
Comment écrire un document en langage clair ?
1 : Définir le but de la publication
2 : Décidez de la matière
3 : Rédigez un avant projet
4 : Vérifiez si les personnes concernées comprennent votre avant-projet
5 : Corrigez l’avant-projet
6 : Revérifiez
Certaines règles sont à observer :
Utiliser un langage simple, sans détours, tant pis pour les répétitions il faut être compris.
Evitez les concepts abstraits, il faut parler concret pour être compris
Utilisez des mots brefs et du langage quotidien, il faut que les personnes s’y retrouve dans leur vécu
Privilégiez le style direct, adressez vous aux personnes concernées et ne généralisez pas, n’utilisez pas de formes impersonnelles
Utilisez des phrases brèves
Utilisez des exemples pratiques dans le vécu quotidien
Adressez-vous au lecteur avec respect
Ne traitez qu’une idée principale par phrase
Utilisez un langage positif (ne dites pas : « tu ne peux pas ne pas comprendre! »)
Utilisez les verbes à la voix active plutôt qu’à la voix passive
Ne supposez pas de connaissance préalable sur le sujet
Utilisez les mots de manière conséquente
Observez une ponctuation simple (pas de point virgule)
Evitez le mode subjonctif
Attention aux figures de style et métaphores peu courantes
Soyez prudent en chiffres (préférez le terme « beaucoup » ou « un grand nombre de » plutôt que 200 425)
N’empruntez pas de mots d’autres langues
Evitez les références à d’autres articles
Mentionnez autant que possible une adresse de contact pour de plus amples informations avec une ou des photos
Evitez le jargon, les abréviations et les initiales
Les voix
Intervenant dans les supports d’information seulement, elles peuvent être réenregistrées en utilisant un micro branché sur l’ordinateur grâce à l’outil magnétophone intégré dans Windows. Pour des personnes qui ne peuvent pas lire, l’importance est évidente dans l’association de sons, voix avec des pictogrammes ou photos.
La communication par Internet aussi permet cela. E-mails vocaux, forum vocal.
Les photos
C’est le moyen essentiel de communication dans les documents. Il donne du sens, surtout lorsque la ou les personnes destinataires sont en grande difficulté. Les photos seront donc remplacées par celles de l’établissement, des locaux, des professionnels… il est conseillé, pour ce faire, de constituer une banque de données de photos sur ordinateur en utilisant un appareil photo numérique ou un scanner.
Les pictogrammes
Le mot « pictogramme » est composé de deux termes : le premier « picto » est issu du latin « pictus » qui signifie « peint » et le second du grec « gramma » qui peut vouloir dire soit « lettre » soit « graphique ». Le mot pictogramme signifie donc « représentation peinte ou dessinée »
Il existe trois sortes de pictogrammes !
- les pictogrammes figuratifs qui représentent exactement l’objet auquel ils se réfèrent.
- les pictogrammes schématiques où le dessin est simplifié et suggère schématiquement l’objet.
- les pictogrammes abstraits qui ne représentent aucun objet précis mais qui constituent un code que l’on ne peut connaître sans l’apprendre (ex : le code de la route)
Ils peuvent intervenir, en complément des photos, pour exprimer des notions abstraites et non liées à des situations ou à des personnes. Ils sont donc utilisables tels quels, mais peuvent être supprimés ou remplacés, par exemple par des dessins ou des » clip art « .
Marc BARTHELEMY |
Histoire de l’enseignement spécial en France 1760/1990 |
SNADOC – Editions DIALOGUES |
M. ZAFIROPOULOS |
Les arriérés de l’asile à l’usine |
PAYOT 1981 |
P. MORASSE |
Intervention sur le vieillissement des personnes handicapées mentales |
Espace Formation Santé Sociale |
M. FOUCAULT |
Histoire de la folie à l’âge classique |
PLON (collection -10/18) |
Cl. LOSPIED |
Handicapés, quels sont vos droits (loi de 1975) |
APF |
H. MUSSET |
Lucy, pas comme les autres |
CALMANN-LEVY |
F. DOLTO |
la difficulté de vivre |
INTER EDITIONS |
H. WALLON |
l’évolution psychologique de l’enfant |
U2 COLIN |
G. DREANO |
Guide de l’aide médico psychologique |
DUNOD |
M. JAEGER |
Guide du secteur social et médico-social |
DUNOD |
M. CRETON |
De quoi je me mêle – les handicapés et nous |
PLON 1993 |
P.E. QUINN |
Les cris du silence |
FRANCE LOISIRS |
B. BETTELEHEIM |
La forteresse vide |
B. GALLIMARD 1984 |
P. POIVRE D’ARVOR |
Elle n’était pas d’ici |
P. ALBIN MICHEL 1995 |
M. L. ROZAN |
Ondine, dépêche-toi de marcher |
ALBIN MICHEL 1992 |
L. RUSSEL |
Le silence des coups |
GRD LIVRE DU MOIS 1993 |
D. WILLIAMS |
Si on me touche, je n’existe plus |
R. LAFONT 1992 |
S. IONESCU |
La déficience intellectuelle T1 |
NATHAN U. 1993 |
S. IONESCU |
La déficience intellectuelle T2 |
NATHAN U. 1995 |
F. FREDET |
Mais, Madame vous êtes la mère |
le Centurion 1979 |
F. DOLTO |
L’échec scolaire |
GRD LIVRE DU MOIS |
PEETERS T. |
Autisme, la forteresse éclatée |
Pro Aid Autisme 1988 rééd. 1994 |
GRANDIN T. |
Ma vie d’autiste |
Odile Jacob 1994 |
MANNONI M. |
L’enfant, sa maladie et les autres |
1967 |
SCHOPLER – REICHLER-LANSING |
Stratégies éducatives de l’autisme |
MASSON 2000 |
GRERARDIN COLLET – RIBONI |
Autisme : Perspectives actuelles |
L’Harmattan Forum IRTS de Lorraine 2000 |
Les cahiers de l’UNAPEI |
Livre Blanc : les personnes autistes accueillies dans les établissements affiliés à l’UNAPEI |
UNAPEI 1998 |
Ces ouvrages sont d’une lecture relativement aisée et retracent bien les thèmes abordés.