un verre vers des vers 19 Aug 2019 11:24 PM (6 years ago)
En un mot comme en cent
Par la pudeur commençant
Ta fine bretelle tu descends
En moi un plaisir indécent
Ton corps ainsi tu dévoiles
Au travers des brumes et des voiles
Cette vision, si délicieux présent
Éclairant, là, mon cieux présent
De milles étoiles réjouissantes
Toi, mon adorée jouissante
Quand ton corps je contemple
de tes yeux à ton fécond temple
Autour de fondent toutes les envies
comme dans un palais en vie
Viens ici que nos corps s'emmêlent
Que nos désirs s'en mêlent
Que nos esprits s'exposent
Et ensemble nos sexes posent
Désirs et envies 19 Aug 2019 11:24 PM (6 years ago)
Un baiser sur ta bouche,
nos corps qui se touchent
notre mutuel désir,
cette attirance qui, dés le premier jour
nous dit que encore et toujours
on n'y prendra plaisir
ta bouche et tes caresses
nos envies et la tendresse
pour me donner à toi,
pour que tu te donnes à moi
tu me feras mouiller
je te ferai supplier
tu me verras demander
je te ferai bander
encore, encore et encore
prends mon corps
donne ton corps
oui, j'ai envie de toi toujours
d'une charnelle ivresse
qui nous invite
sans aucune limite
à ce qu'on se profite
je pense ne jamais pouvoir renoncer à toi
en tout cas, je n'en n'ai pas envie du tout
alors j'irai boire à la fontaine de tes envies et de ton désir
toi 24 May 2019 4:41 AM (6 years ago)
J'adore ton corps,
Le masser, le caresser, encore et encore
Il est comme toi, très doux.
J'aime glisser mes doigts sur ton torse légèrement velu
J'aime ta bouche, tes baisers, t'embrasser
Ta langue si douce et tes lèvres gourmandes
Avec toi, mon ventre est comme cette grotte au fond de laquelle on découvre un lac
de nouvelles sensations, hummmmm
du plaisir à n'en plus finir .......
te sentir frissonner et vibrer
t'entendre gémir et jouir
l'offrande de ton corps 13 May 2019 9:45 AM (6 years ago)
Ton corps,
Tu as envie qu'elle s’en serve et tu le laisse à sa disposition
Allongé sur le ventre, tu es prêt à toutes propositions
Elle vas jouir de lui à sa guise, car esclave de son plaisir
Tu t’abandonnes sans réticence à l’assaut de ses désirs
Ayant joué avec le côté pile, tu envisages le côté face
Alors te fais rouler sur le dos, pleine d’envies voraces
Ta bouche,
Elle est accroupie pour frotter sa vulve sur ton visage
Ta figure est vite trempée de mouille
Alors du bout de la langue tu la fouille
Elle ouvre son ventre, expose son clitoris
Tu la suces et la lèches encore entre les cuisses
Ta queue,
Pendant que tu t’affaires, elle fixe ta queue bandée
Il lui suffit de se pencher pour la prendre
Dans sa main elle la sens grossir et se tendre
Elle avance sa bouche et aussitôt l’embouche
Pendant cette fellation, les couilles elle te touche
Avant de venir s’empaler sur ce sexe gorgé de sperme
Elle ondule du bassin en gémissant et ses yeux se ferment
Elle dégouline de plaisir en devinant que tu vas éjaculer
Elle voulait ton sexe dans sa bouche, son ventre, son "cul"
Mais pour entièrement vous jouir, elle en est convaincue
Elle aimerai bien qu’ensemble vos corps s’activent
Que de toi tu ne fasses pas une offrande passive
Sentir tes mains pétrir et caresser ce corps charnu
Ses seins, ses fesses, ces formes, ces rondeurs nues
Tu veux tes mains, tes doigts sur et dans son corps
L’explorant avec audace et indécence et plus encore
Tu aimes 13 May 2019 9:44 AM (6 years ago)
Tu aimes cette langue qui ton clitoris titille
Tu l’aimes la sentir qui sur ton anus frétille
Aussi qui vient laper de ton ventre la mouille
Puis qui entre les fesses intimement te fouille
Tu aimes ma bouche qui gourmande t’explore
Savoure sans complexe l’intérieur de ton corps
Qui s’offre avec gourmandise à ce plaisir buccal
Et se propose à la jouissance de mes visites anales
Tu vibres et frissonnes, t’avoues sans complaisance
Pourvu qu’en toi je te possède puis sème ma semence
Tu veux que dans le cul, la vulve, la bouche je te jouisse
Tu me suces, m’ouvres tes fesses et m’écartes les cuisses
Tu veux du foutre, du sperme, recevoir en toi cette sève virile
Brûlante et liquoreuse qui se déverse et se répand comme l’huile
Envahissant pleine ta bouche, ta chatte humide ou ton étroit conduit
Qu’importe comment je vais te jouir, si c’est en toi que je m’introduis
Je te bande de toutes mes envies, et si cet infini désir de toi te bouleverse
Laisse-moi encore et encore te désirer pour qu’au fond de toi je me déverse
Et viens me jouir, abuser de mon corps, viens me violer sans aucun complexe
Je te veux indécente et sans réserve devenir ton esclave pour les plaisirs du sexe
Tu l’as compris, tu le sais, tu peux de mon corps te satisfaire au gré de tes caprices
Je l’abandonne à tes fantasmes, à tes envies folles et à l’assouvissement de tes vices
Utilise-le comme tes envies pourront en profiter car je veux que tu puisses t’en assouvir
Exprime ce qu’en sont tes envies, tes fantasmes, tes plaisirs, avoues tes plus secrets désirs
Je suis par le désir de ton corps obsédé
Et j’aime tant à ton désir du mien céder
Serions-nous l’un par l’autre si possédés
Que nul plaisir ne pourrait nous succéder
Dans le jardin des sens 13 May 2019 9:44 AM (6 years ago)
Dans le jardin des sens,
On croise parfois un peu d’indécence
Et du bout des doigts et du bout de la langue on explore les collines voluptueuses,
Les intimités abandonnées à une charnelle convoitise
On écoute les gémissements, les soupirs, les halètements et le bruissement du drap
Sur lequel les corps s’adonnent à de jouissifs ébats
On se goûte, on se déguste
On se découvre, on se donne
éternité 13 May 2019 9:44 AM (6 years ago)
Cette magique attirance
La complicité de nos sens
Notre impudique indécence
La communion en jouissance
Et puis comme un grand silence
Mes écrits et ton absence
Une attente mais sans correspondance
Et même si encore à toi souvent je pense
Je te désire encore de charnelle abstinence
Heures 13 May 2019 9:43 AM (6 years ago)
Une à une s’effacent les heures qui nous séparent
Puisque bientôt sonnera celle ou on pourra se voir
Le temps s’écoule lentement et chacun s’y prépare
Dans la réalité autant que les mots ont su émouvoir
Notre attirance mutuelle va prendre un autre départ
Sur la route, si troublés et excités, chacun en voiture
En partant vers ce lieu propice à l’abandon des sens
Se dira qu’au-delà de l’imagination et de la littérature
Nous allons enfin de l’autre se retrouver en présence
Intimidés voire confus avant que monte la température
Pour nous partager le plaisir de l'intime connaissance
Si nos échanges parfois osés ont su nous séduire
Faisant de tendres et voluptueux ébats la promesse
Par notre désir bientôt nous nous laisserons conduire
Et franchissant sans complexe les murs de la forteresse
Avec nos mains et nos bouches l’envie pourra se traduire
Par l’offrande impudique des corps à d’audacieuses caresses
hummmm 13 May 2019 9:42 AM (6 years ago)
J'attends ce moment charmant
qui fera de toi mon amant
Je rêve de vibrer sous tes doigts agiles
sous ta langue curieuse
sous les coups de ton sexe qui investi
ma petite grotte de plaisir qui t"attend
toute mouillée de mon envie de toi !!!
Mes lèvres et ma langue sont impatientes
de sentir ton sexe vibrer, palpiter pour enfin
épancher ma soif de toi, de ton plaisir !!!
Je veux te sentir entrer en moi
une fois que j'aurais jouis sous tes doigts inquisiteurs
et sous ta langue qui n'aura de cesse
d'exciter mon petit bouton de plaisir
pendant que j'exciterais ton envie
avec ma langue qui léchera ta hampe gonflée d'envie,
tes bourses prête à éclater.
J'ai fait un rêve ... 13 May 2019 9:42 AM (6 years ago)
C'est la fin du Monde. Les médias l'affirment ouvertement depuis au moins une semaine. Après relecture exacte du calendrier Maya, les astronomes et autres spécialistes s'accordent à dire que le monde arrive à sa fin ce soir. Depuis que le moment précis a été annoncée ce matin, j'ai fait un pied de nez au destin et invita ma favorite à passer la dernière nuit ensemble. Le passé va se mourir, le futur n'existera plus mais au moins nous aurions profité du présent.
Dès que la nuit fut tombée, elle me rejoignit chez moi, toute vêtue de noir, les yeux brillants d'astraux désirs et ses rondeurs m'appelaient déjà. Au fur à mesure que la fin du monde menaçaient, mon désir profond pour cette dame à peine arrivée augmentait exponentiellement.
A son arrivée, j'avais laissé la télévision allumée, la réception était mauvaise mais les médias braillaient encore et sonnaient partout le glas du Monde. Des images satellites tournaient autour de la ronde sphère, dévisageaient chaque recoin, en visualisant les zones les plus sensibles et en mettant à nu le manteau terrestre pour mesurer son amplitude. C'est ce qu'également je fis avec ma tendre invitée, je lui retira délicatement son manteau noir à fourrure synthétique pour aller le poser et lui tourna autour en reluquant discrètement sur sa beauté callipyge. Sa coiffure et sa stature, petite mais fière, lui donnaient des airs de déesse mythologique, telle Perséphone, et lui conféraient presque l'image métaphorique de présage, d'augure à la luxure et à l'ébranlement de tout un monde, le mien.
La gravité était aussi forte que mon attirance ce soir là. L'atmosphère était lourde mais nos cœurs étaient légers. Nos âmes étaient en parfaite connexion. Les mots que nous échangions se finissaient par des rires, par des regards tendres ou même par des caresses … Nous nous étions assis sur le bord de mon modeste lit, je lui pris sa main la plus proche, lui embrassa en lui souriant et frôla sa main avec le bout de mes doigts en les glissant entre ses phalanges boudinés. Elle me parla suavement. Sa douce voix résonnait dans ma tête tandis que la télévision commençait à se brouiller, on n'arrivait plus qu'à distinguer que quelques mots par-ci, par-là, entremêlés de sons saturés et distordus. J'éteignis par le biais de la télécommande le téléviseur et invita de ce pas ma charmante Dame à se dévêtir. Nous nous levons pour se déshabiller mutuellement toujours avec beaucoup de respect et de tendresse.
Nous voilà maintenant, nos hauts retirés, moi la tenant par la taille, mes mains posées à même sur ses poignées d'amour généreuses et mes yeux rivés sur sa poitrine abondante encore prise au piège par son élégant soutien-gorge, rouge et noir. Soucieux de lui la libérer, je lui fis signe de se retourner afin de desserrer le joug et retirer l'entrave à la libération de ses beaux seins. Une fois la main sur les accroches qui comprimaient légèrement son dos alors que je m'apprêtais à les décrocher, une secousse se fit ressentir dans l'appartement et la lumière au plafond de mon studio s'éteignit soudainement ainsi que tout autre appareil électrique. Le léger souffle de mon frigo se tût immédiatement aussi et la lueur rouge de mon réveil sur la table de chevet n'affichait plus aucune heure. Nous étions dans le noir presque total, seule la lune, qui se tenait face à ma fenêtre, éclairait la pièce de sa sobre clarté qui se reflétait sur nos peaux nues. Avec douceur, malgré ma maladresse masculine naturelle, je réussi à dissocier les deux agrafes. Madame se tourna et me laissa retirer délicatement son soutien-gorge. Nous ôtâmes ensuite nos derniers sous-vêtements. A la vue de la splendeur de sa poitrine, je ne pus résister à lui titiller les tétons avec une dextérité insoupçonnable et à les prendre dans ma bouche pour les exciter. Je pris les deux magnifiques seins dans mes mains, les regarda puis continua à frôler les tétons ressortant avec mes doigts coquins.
Soudain, une autre secousse, plus légère, se fit ressentir, ce qui manqua de nous faire basculer sur le lit. Ma verge était durement en érection, cela faisait un moment déjà et madame me prit le pénis par la main en se jetant lentement sur le lit, le lacha et finit les jambes ouvertes face à moi en m'y invitant vivement du regard. Comme c'était notre dernier instant, je décida de tout donner. Nous avions une intime confiance l'un de l'autre. Nul besoin de protection, d'autant plus que ce sera notre dernière fois. L'espoir de survivre n'avait pas sa place ici, nous n'avions juste à succomber sans réfléchir au plaisir et à la frivolité. Une grosse secousse me fit tomber sur le berceau auprès de là où ma Dame s'était installée, quasiment la nez sur son refuge secret. Nous rions de la situation et je commençai de ce fait à lui faire le plus délicieux des cunis. Mes doigts a l'entrée de son antre prêts à glisser entre les lèvres déjà mouillées. Je frôlai et frottai l'endroit le plus proche du clitoris avec mon nez et lui léchai le bord des lèvres tout en caressant ses cuisses avec mes mains libres. J'entendais ma chère et tendre jouir à demi-mot. Je continua sur ma lancée en titillant ses sens et son clitoris avec mon gros pouce en faisant des arcs de cercle autour de celui-ci en m'égarant parfois près de l'entrée du vagin. Je me retira lentement de son entre jambe en lui cajolant tendrement ses jambes jusqu'aux pieds. Je frissonnai à l'idée de pénétrer ma dame pour la dernière fois. Puis soudain, un nouveau mini séisme me fit chanceler sauf que cette fois-ci un léger morceau du plafond est tombé non loin de l'entrée de l'appartement et les murs se fissurèrent. J’insérai alors presque systématiquement mon dur et long attribut masculin dans le tunnel de l'amour que m'offrait ma favorite. Des va-et-vient intenses et amoureux s'en suivirent … A chaque fois que j’enfonçais mon sexe turgescent au fond du corps de ma partenaire et que les humides parois vaginales étaient frottées et ramonées, la jouissance sonore de la propriétaire résonnait dans la pièce et des secousses sismiques accompagnées à présent chaque aller-retour. De la lumière rougeâtre transparaissait dehors, une cheminée de volcan avait émergé au cœur de la ville. L'éruption était sur le point d'avoir lieu. Ma déesse, ma Perséphone sentant la fin venir, se retira momentanément et me fit comprendre qu'elle voulait que je me couche et qu'elle me chevauche. Une fois couché, le pénis à l'air, elle me grimpa dessus de tout son poids et s'empala doucement mais avec envie sur mon volcan érectile. Elle dandina son corps autour de celui-ci et s'agita fortement, succombant au plaisir des plus profonds, mes mains sur ses hanches bien remplies. Chaque fois que son corps s'affaissait, de plus en plus vite, sur le mien pour se servir de la dureté de mon pénis, les fissures des murs et du plafond s'agrandissaient. Toujours joint par de plus en plus violents et destructeurs tremblements de terre, la jouissance grandissait proportionnellement à ces derniers. Un large morceau de plafond tomba à côté de ma tête alors avec mon bassin je fis mime de tenter de soulever ma gente dame à plusieurs reprises afin d'accélérer encore davantage le mouvement. Je le sens venir. L'éjaculation et l'accomplissement mutuel qui va avec arrivent tandis que l'immeuble est sur le point de céder et de s'effondrer. La chaleur de nos deux corps ainsi que celle du frottement et le plaisir qui en découle nous procurent une satisfaction inégalée jusqu'alors. La température monte tel un magma sous pression. Ça devient presque intenable de résister. Puis soudain le volcan explose … la lave jaillit instamment du sommet au milieu de la ville tant que ma semence se libère également dans le vagin de ma partenaire. Le sol tremble. Le plafond se tord. Ma dame rabat son corps rond vers moi, ravie de cet ultime accomplissement. La tête dans ses seins. Le plafond nous rejoint lui aussi. Et le sol s'affaisse et nos corps amoureux avec lui …Nous plongeons tous deux dans l'infini!
… …. ….
Puis je sursauta de frayeur … Ce n'était qu'un rêve... Ouf! J'espère que la prochaine fois que j'aurais la chance de rencontrer une gente dame, ça ne sera pas à la fin du monde... Lol
Mon dernier vers 10 Feb 2019 5:29 AM (6 years ago)
J'ai appris hier que la vie s'arrêtait sur terre.
Fais ta prière m'a dit le prédicateur, tout fier.
Moi j'ai regardé en l'air, pas de météorite lunaire, rien que de la neige d'hiver.
Je me suis dit, que faire ?
C'est le moment de tout faire, ne pas regarder en arrière, ne plus se baigner deux fois dans la même rivière.
Oublier un passé solitaire à lessiver des pulls mohairs dans sa garçonnière.
Ne plus se servir de paratonnerre.
A l'usage d'un tiers, plus le temps de tout parfaire,
De relire Baudelaire où Apollinaire.
A présent, que me sert mon flair ?
Du jour, humer l'air ?
Pendant que ça jase dans les chaumières.
Préparer son texte pour Saint-Pierre, a quoi ça sert ?
Paradis où enfer ? Qu'importe ! Bouffée pas les vers.
Tu montes prendre un dernier verre ?
Tout s'est éteint, c'est mon dernier vers...
L.C
Juste un début... 10 Feb 2019 5:29 AM (6 years ago)
La porte est entrouverte, je rentre d'un pas feutré, me dirige vers la chambre. Une lumière chaude ce dégage sous le seuil. Je pousse délicatement la porte, cette chaude lumière viens de plusieurs bougies disposées un peu partout dans la pièce. Sur le lit je te vois étendu dans une nuisette de dentelle, elle est transparente. Tu te tiens d'une pose lassive, je ne sais si tu dors ou non, tu es de dos, je peux distinguer tes formes et tes courbes voluptueuses, je sens ta respiration forte et lente comme si tu étais dans un rêve érotique, ma main effleure ton pied pour remonter jusqu'à ton genou, tu te retourne délicatement, tu as les yeux fermés. J'entre aperçois tes tétons dur à travers la dentelle, je me déshabille sans faire de bruit, je garde mon boxer et m'allonge avec douceur auprès de toi, je te regarde avec passion, je sens ton souffle chaud, tu glisses ta jambe entre les 2 miennes, je sens ta peau douce et chaude contre moi. Je passe ma main dans tes cheveux, je te caresse délicatement le visage, passe mon doigt sur tes lèvres, ta bouche s'ouvre et me suçote le doigt, je sens ta main me caresser la poitrine, je passe mon autre main sous ta nuisette et caresse tes hanches, je ne sais pas si tu fais semblant de dormir ou si tu vis l'instant comme si tu le rêvais.
Ta main descent sur mon ventre tandis que la mienne passe sur tes fesses bondées et fermes. Tu continues a suçoter mon doigt. Ta main s'enfonce dans mon boxer, la mienne parcourt ton corps, nos respirations ce font de plus en forte et rapide. Tu ouvres les yeux et nos regards ne font qu'un, tu me souris et m'embrasse avec fougue, nos langues s'entremêlent sauvagement, je suce ta langue que tu dresses durement. Nos mains parcourent tout notre corps. Une de mes mains s'engouffre entre tes cuisses, je les caresse avec douceur et fermeté a la fois, tu fais descendre mon boxer le long de mes jambes, tu me caresses les fesses puis tu prends fermement mon sexe dur dans ta main chaude, alors que nous nous délectons de notre fluide buccal.
Juste un début... 10 Feb 2019 5:29 AM (6 years ago)
La porte est entrouverte, je rentre d'un pas feutré, me dirige vers la chambre. Une lumière chaude ce dégage sous le seuil. Je pousse délicatement la porte, cette chaude lumière viens de plusieurs bougies disposées un peu partout dans la pièce. Sur le lit je te vois étendu dans une nuisette de dentelle, elle est transparente. Tu te tiens d'une pose lassive, je ne sais si tu dors ou non, tu es de dos, je peux distinguer tes formes et tes courbes voluptueuses, je sens ta respiration forte et lente comme si tu étais dans un rêve érotique, ma main effleure ton pied pour remonter jusqu'à ton genou, tu te retourne délicatement, tu as les yeux fermés. J'entre aperçois tes tétons dur à travers la dentelle, je me déshabille sans faire de bruit, je garde mon boxer et m'allonge avec douceur auprès de toi, je te regarde avec passion, je sens ton souffle chaud, tu glisses ta jambe entre les 2 miennes, je sens ta peau douce et chaude contre moi. Je passe ma main dans tes cheveux, je te caresse délicatement le visage, passe mon doigt sur tes lèvres, ta bouche s'ouvre et me suçote le doigt, je sens ta main me caresser la poitrine, je passe mon autre main sous ta nuisette et caresse tes hanches, je ne sais pas si tu fais semblant de dormir ou si tu vis l'instant comme si tu le rêvais.
Ta main descent sur mon ventre tandis que la mienne passe sur tes fesses bondées et fermes. Tu continues a suçoter mon doigt. Ta main s'enfonce dans mon boxer, la mienne parcourt ton corps, nos respirations ce font de plus en forte et rapide. Tu ouvres les yeux et nos regards ne font qu'un, tu me souris et m'embrasse avec fougue, nos langues s'entremêlent sauvagement, je suce ta langue que tu dresses durement. Nos mains parcourent tout notre corps. Une de mes mains s'engouffre entre tes cuisses, je les caresse avec douceur et fermeté a la fois, tu fais descendre mon boxer le long de mes jambes, tu me caresses les fesses puis tu prends fermement mon sexe dur dans ta main chaude, alors que nous nous délectons de notre fluide buccal........
Prémices 10 Feb 2019 5:28 AM (6 years ago)
Tu viens de l’embrasser dans le cou et en frissonnant elle a tourné la tête vers toi
Ta bouche s’est posée à la commissure de ses lèvres et est revenue dans son cou
Vous ressentez tous les deux l’envie de vous abandonner à votre mutuel émoi
Tu l’enlaces alors et elle laisse son corps se presser contre le tien tendrement
Elle ferme les yeux en gémissant et elle devine l’expression de ton désir
Avec cette raideur qui se manifeste et que tu ne peux plus dissimuler aisément
Succombant à vos envies, vous laissez enfin vos mains parcourir vos corps
Imaginant la peau nue encore recouverte par les vêtements vous vous caressez
Vous vous êtes isolés à l’écart avec les parois d’un abri comme seul décor
Elle soupire quand tu commences à déboutonner très lentement son corsage
Puis dévoilant sa poitrine après avoir dégrafé son soutien gorge
Ta main sous le tissus du chemisier trouve de son buste dénudé le passage
Tu caresses ses seins, son dos, reviens pour lui titiller les pointes qui se dressent
Sa main descend le long de ton ventre, caresse la protubérance
Par ces caresses furtives, vous vous laissez gagner par une charnelle ivresse
Elle défait ta ceinture, tu fais glisser la fermeture éclair, plein d’audaces
Vous partez vers une exploration plus intime de vos anatomies
Prisonniers de vos envies, libérés par votre complicité, la pudeur s’efface
Ses doigts s’enroulent alors autour du membre maintenant en érection
Les tiens s’égarent en bas de son pubis,, trouvent l’ouverture moite
Vous vous découvrez enfin dans ce plaisir mutuel éperdus d’excitation
Frustrés d’un moment trop fugitif, vous êtes assurés de votre attirance
Se revoir vite, laisser libre court à vos envies, vous savourer enfin
Pouvoir vous dénuder entièrement pour mieux vous vivre et vous offrir en jouissance
Elle s'est laissée envahir par l’exaltation de ce baiser au coin de sa bouche
Oups, elle rougit, elle rêvasse, elle papillonne dans son ventre
Voilà qu’à l’évocation d’un baiser, il l’invite à ce qu’autrement ils se touchent
L'inconnu 3 Nov 2018 6:17 AM (6 years ago)
Depuis son départ, il me manque
Je ne sais qui il est
Il ne sait qui je suis
C'est à peine si je l'ai vu
C'est a peine si il m'a reconnu
On ne s'est même pas embrassé
Il ne m'a même pas touché
L'ai je jamais regardé dans les yeux
A t'il jamais croisé mon regard
Avons nous respiré le même air
Avons nous dansé la même musique
Ai-je provoqué en lui des sensations
A t'il eu pour moi des sentiments
Je ne saurais jamais rien car je ne l'ai jamais rencontré...