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« S’abstenir, c’est subir. » Campagne pro bono élections européennes 2024 🇪🇺 25 Mar 2024 8:27 AM (last year)

Entre défiance et désinformation…

49,9% De taux d’abstention aux élections européennes (France 2019)

40% D’intentions de vote pour l’extrême droite

59% Des sondés en France expriment un désintérêt pour les élections européennes de 2024

60% Déclarent ne pas voir ce que l’UE leur apporte au quotidien

57% Considèrent l’UE comme “corrompue”

… Le temps est à l’action !

Indifférence, scepticisme, méconnaissance, défiance… ces chiffres issus de l’étude récente du Think Tank « Destin Commun » ont de quoi nourrir toutes les inquiétudes. Le défi est de taille pour mobiliser et démontrer aux Français le rôle majeur que jouent les Institutions Européennes.

C’est ce constat qui a amené l’agence I&S à créer une campagne de sensibilisation au vote et contre l’abstention. Parce que s’abstenir de voter, c’est renoncer à ses droits et subir un choix qui n’est pas le sien.

La campagne, qui se déroulera du 11 mars jusqu’aux élections européennes (le 9 juin 2024), a été conçue pour être relayée par les réseaux des partenaires et bénévoles qui acceptent de soutenir cette cause et l’agence remercie tous les signataires participant à cette initiative :

• Confrontations Europe représenté par Michel Derdevet
• Euradio représenté par Laurence Aubron
• EuropaNova représenté par Isabelle Négrier & Guillaume Klossa
• Européens sans Frontières représenté par Philippe Cayla
• Fondation Hippocrène représenté par Dorothée Merville
• l’Institut Jean Monnet représenté par Jean-Marc Lieberherr
• Maison de l’Europe de Paris représentée par Ursula Sérafin
• Sauvons l’Europe représenté par Patrick Badard

Elle sera diffusée sous forme de supports print et digitaux, déclinée en trois visuels distincts destinés à attirer l’attention sur l’importance du vote, et les responsabilités sociales, environnementales et politiques induites.

L’agence I&S espère mobiliser un large public durant cette campagne, et notamment à l’occasion de la fête de l’Europe le 9 mai.

Cette action souligne la conviction d’I&S selon laquelle ensemble, nous pouvons avoir un impact significatif sur la mobilisation citoyenne. Nous comptons sur l’ensemble des médias pour relayer cet appel aux votes et contribuer au développement de l’engagement citoyen.

Pour plus d’informations, contacter Carla Thevenet – carla.thevenet@image-strategie.com

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Cultural evenings #5 « Cybersécurité & entreprises : mythes et réalités » 30 Jan 2024 7:26 AM (last year)

A l’occasion de la 5^e édition des « Cultural Evenings », I&S s’est intéressé à un sujet majeur pour les entreprises : la cybersécurité. Alors que les technologies ne cessent de progresser, les cybermenaces évoluent tout aussi rapidement, mettant en danger la sécurité de nos infrastructures, de nos entreprises. Ces quelques chiffres en témoignent :

• + 26% de cyberattaques en Europe en 2022,
• + de 80% des cyberattaques visent des PME/TPE
• En 2022, le coût des cyberattaques réussies sur les SI des organisations françaises est évalué à 2 milliards d’euros.
• La cybersécurité classée en 2022 pour la 1ère fois dans le top 10 des risques business par le Forum économique mondial
• Dans 60 % des cas, une cyberattaque d’ampleur, réussie, mène à la faillite de l’entreprise.

Des tendances confortées par l’étude exclusive menée par notre partenaire Viavoice auprès de 400 dirigeants d’entreprise en France.

Merci aux cinq experts de renom qui sont venus débattre et nous éclairer à la Maison de l’Europe sur les enjeux économiques, technologiques, réputationnels… pour les PME. Ils ont pu souligner les menaces complexes de la cybersécurité, nous incitant à réfléchir de manière proactive et à renforcer nos défenses numériques pour un avenir plus sûr et plus résilient en ligne.

•          Yassir Kazar, CEO et cofondateur de Yogosha

•          Philippe Luc, CEO et cofondateur d’ANOZR WAY

•          Hassen Harrabi, partner Talan

•          Stéphanie Ledoux, CEO et fondatrice d’Alcyconie

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« Eaux souterraines : rendre visible l’invisible ? » Découvrez le dernier podcast Libres Échanges 15 May 2023 6:55 AM (2 years ago)

Libres Échanges, le podcast qui éclaire un monde en transition revient dans une nouvelle saison sous format audio et vidéo, lancé par ESCE International Business School en partenariat avec IFG Executive Education, présenté et animé par Olivier Jacquemond et Thomas Zeroual.

L’UNESCO tire la sonnette d’alarme dans son dernier communiqué de presse daté du 21 mars 2023 !

Entre deux et trois milliards de personnes à travers le monde sont touchées par des pénuries d’eau. À moins d’une coopération internationale renforcée dans ce domaine, ces pénuries s’aggraveront au fil des décennies, notamment dans les zones urbaines.

En mars, The Guardian a rapporté des informations provenant de la commission mondiale sur l’économie de l’eau, révélant une statistique alarmante à très court terme : d’ici 2030, la demande en eau dépassera l’offre de 40%.

Que ce soit à l’échelle internationale ou nationale, la gestion de l’eau est à nouveau au cœur des enjeux majeurs.

C’est précisément sur cet enjeu crucial et les défis colossaux qui l’accompagnent que se concentre le tout dernier numéro de notre revue, Libres Échanges.

Restons mobilisés, ensemble, pour trouver des solutions durables à cette crise mondiale de l’eau. Chaque action compte !

Découvrez également la saison 1 sur vos plateformes d’écoute : 
🎧 Acast : https://bit.ly/3yI2ycZ
🎧 Spotify : https://spoti.fi/3FnZ5nD
🎧 Deezer : https://bit.ly/406DXdj
🎧 Apple : https://apple.co/40a5nz0

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« Mobilité : faut-il ralentir ? » Le nouveau podcast de Libres Échanges est disponible. 20 Apr 2023 12:46 AM (2 years ago)

Libres Échanges, le podcast qui éclaire un monde en transition revient dans une nouvelle saison sous format audio et vidéo, lancé par ESCE International Business School en partenariat avec IFG Executive Education, présenté et animé par Olivier Jacquemond et Thomas Zeroual.

Nous sommes témoins d’une réalité captivante : le monde se pare d’une beauté nouvelle, celle de la vitesse. Ces mots résonnent peut-être familièrement, puisqu’ils proviennent du Manifeste du Futurisme, publié dès 1909. De l’ère futuriste à l’accélérationnisme, peut-on affirmer que la modernité a pactisé avec la vitesse, tel Faust ?

La question se pose alors : avons-nous sacrifié notre essence en échange d’une vie trépidante ?

Sommes-nous disposés à intensifier nos moyens de transport au détriment de l’environnement, en polluant davantage, tout cela dans le but d’économiser du temps ?

Faut-il mener une existence effrénée pour atteindre le bonheur ? Ou bien, au contraire, est-ce en ralentissant, en adoucissant le tempo, que nous pourrons instaurer un nouveau mode de relation paisible avec le monde, avec autrui, et avec nous-mêmes ?

Découvrez également la saison 1 sur vos plateformes d’écoute : 
🎧 Acast : https://bit.ly/3yI2ycZ
🎧 Spotify : https://spoti.fi/3FnZ5nD
🎧 Deezer : https://bit.ly/406DXdj
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Revue Confrontations Europe : un nouveau numéro consacré aux bouleversement du monde et le cap de la cohésion européenne 17 Apr 2023 12:59 AM (2 years ago)

Les bouleversements du monde actuel sont nombreux, et la cohésion européenne est mise à rude épreuve. Les incertitudes sont nombreuses et diverses, qu’il s’agisse du Brexit, de la crise migratoire, des tensions internationales, ou encore de la montée des mouvements populistes dans plusieurs pays européens.

Face à ces incertitudes, il est essentiel pour l’Union européenne de garder le cap de la cohésion, en se posant les bonnes questions et en prenant les bonnes décisions. Quels sont les défis actuels auxquels l’Union européenne doit faire face, et comment peut-elle y faire face tout en préservant sa cohésion ? Quelles sont les priorités pour l’avenir de l’Union européenne, et comment les mettre en œuvre ?

L’une des incertitudes majeures auxquelles est confrontée l’Union européenne est le Brexit, qui a mis en évidence les tensions et les divergences qui existent entre les différents États membres. Comment l’Union européenne peut-elle faire face à ce défi, et comment peut-elle renforcer sa cohésion malgré les différences d’opinions et les divergences qui existent entre les différents pays membres ?

La crise migratoire est un autre défi majeur pour l’Union européenne, qui doit trouver des solutions durables pour faire face à cette situation. Comment peut-elle concilier les différentes opinions et les différentes visions des États membres, tout en préservant sa cohésion ?

La montée des mouvements populistes dans plusieurs pays européens est également une source d’incertitude pour l’Union européenne. Comment peut-elle répondre à ces mouvements, tout en respectant les valeurs fondamentales de l’Union européenne et en préservant sa cohésion ?

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Cultural evenings #4 « Vers la fin des contenus « humains » ? » 17 Apr 2023 12:16 AM (2 years ago)

Après l’avoir longtemps redoutée la question est posée : l’IA peut-elle l’emporter sur l’humain ? Et annonce-t-elle la fin des contenus « humains » ?

Le vocable d’IA née en 1956 à la conférence de Dartmouth a enfin pris la place que les auteurs de SF lui assignait jusqu’à encombrer maintenant toutes nos conversations. Tous les médias. 

Nous ne faisons pas ici une revue de presse de l’apparition de ce qu’il faut bien appeler un phénomène IA, mais relevons que cette émergence n’a que dix ans à peine et que nous sommes en pleine accélération des possibles, en plein emballement.

En 2010 Usbek & Rica titrait : « IA, mythe ou réalité ? » ;

–       en 2013, « Les robots ont-ils des droits ? » ,

–       En 2015, « La randomisation remède d’un futur aseptisé » ,

–       En 2017, « Google prend le virage de l’IA » ,

–       En 2019, « Il faut humaniser l’IA » ,

–       en 2023 : « L’heure du dialogue entre intelligences a sonné ».

Il est vrai que l’IA rivalise aujourd’hui avec l’humain. Ainsi ChatGPT, forte de 300 milliards de mots et de 175 milliards paramètres, annonce que 90% des contenus mis en ligne en 2025 seront créés par des algorithmes. Un danger puisque seulement 5% des contenus généreront 90% des interactions.

Bref, nous oscillons entre effarement, craintes et nécessaire vigilance.

Dans La singularité technologique écrite par Murray Shanahan (spécialiste de robotique cognitive), l’auteur développe les progrès technologiques réalisés en intelligence artificielle et explique que la transition vers une super-intelligence artificielle pourrait être très rapide. Il démontre via une enquête détaillée que cette technologie présente à la fois une menace existentielle pour l’humanité, mais aussi une opportunité de résoudre tous les grands problèmes auxquels l’humanité est confrontée. Shanahan prédit néanmoins en conclusion qu’il existe un risque – faible – que l’IA l’emporte sur l’humain. Une question donc d’analyses des possibles et de leurs conséquences afin que nous fassions les meilleurs choix pour parvenir à une issue favorable.

Nous n’en sommes pas là… en tous cas pas ce 17 avril qui était un temps de questions et de débat animé par le journaliste Philippe Reiller sur le thème « Syndication, mutualisation, IA, ChatGPT, vers la fin des contenus « humains » ? ».

Nous avons eu l’honneur de recevoir quatre experts de renom pour répondre à cette problématique :

–Julie Schwartz : avocate spécialiste en protection des données personnelles et cybersécurité, enseignante à l’Université Paris-Saclay ;

–Sébastien Claeys : Professeur associé à Sorbonne Université, Responsable du débat public à l’Espace éthique Île-de-France ;

–Lionel Lavarec : PhD, Responsable Stratégie de communication chez Dassault Systèmes et Auteur pour la revue Hermès CNRS ;

–Pierre Doncieux : Journaliste et éditeur Écologie 360.

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Cultural evenings #3 « Les défis de l’interculturalité en entreprise » 10 Nov 2022 12:04 AM (2 years ago)

L’interculturalité, un enjeu clé pour l’entreprise moderne

Dans un contexte économique de plus en plus mondialisé, la question de l’interculturalité en entreprise est devenue un enjeu majeur pour les entreprises. En effet, les différences culturelles entre les collaborateurs peuvent entraîner des incompréhensions, des conflits et des dysfonctionnements qui nuisent à la performance de l’entreprise. Pourtant, la gestion de la diversité culturelle en entreprise peut également être une source de richesse et d’innovation, à condition d’être abordée de manière stratégique et proactive.

Partie 1 : Les défis de l’interculturalité en entreprise

La gestion de l’interculturalité en entreprise pose de nombreux défis. Tout d’abord, il s’agit de gérer les différences culturelles entre les collaborateurs, qui peuvent porter sur des aspects aussi divers que la communication, les valeurs, les normes sociales ou les modes de management. Ces différences peuvent entraîner des incompréhensions, des conflits ou des malentendus qui nuisent à la performance de l’entreprise.

Ensuite, il est également important de prendre en compte les différences culturelles dans la gestion des clients, des fournisseurs et des partenaires de l’entreprise. Les différences culturelles peuvent influencer les comportements d’achat, les modes de négociation ou les attentes des clients, et une mauvaise gestion de ces différences peut entraîner des pertes de marché ou des conflits avec les partenaires.

Enfin, la diversité culturelle en entreprise peut également entraîner des défis en matière de gestion des ressources humaines. En effet, il est important de prendre en compte les différences culturelles dans le recrutement, la formation, la gestion de carrière et la rémunération des collaborateurs, afin de garantir une équité et une efficacité optimales.

Malgré les défis posés par la gestion de l’interculturalité en entreprise, celle-ci peut également être une source d’avantages et de richesses pour l’entreprise. Tout d’abord, la diversité culturelle peut favoriser l’innovation et la créativité en apportant des perspectives et des idées différentes. En effet, les collaborateurs issus de cultures différentes ont souvent des points de vue différents sur les problématiques de l’entreprise, ce qui peut favoriser l’émergence d’idées nouvelles et originales.

Ensuite, la diversité culturelle peut également favoriser l’adaptabilité de l’entreprise aux contextes internationaux. En effet, les collaborateurs issus de cultures différentes peuvent avoir une meilleure compréhension des contextes locaux et des spécificités culturelles, ce qui peut faciliter l’implantation de l’entreprise dans de nouveaux marchés.

Enfin, la gestion de la diversité culturelle en entreprise peut également favoriser l’engagement des collaborateurs et la satisfaction au travail. En effet, les collaborateurs qui se sentent reconnus et valorisés pour leur diversité culturelle sont plus motivés et plus engagés dans leur travail, ce qui favorise la performance de l’entreprise.

La gestion de l’interculturalité en entreprise nécessite la mise en place de bonnes pratiques adaptées à la culture de l’entreprise et de ses collaborateurs. La sensibilisation des collaborateurs à la diversité culturelle est essentielle, ainsi que la communication interculturelle pour favoriser l’échange d’informations et de perspectives entre les différents groupes culturels.

Les processus de gestion des ressources humaines doivent être adaptés pour prendre en compte les différences culturelles des collaborateurs, notamment en mettant en place des politiques de recrutement favorisant la diversité culturelle, en adaptant les formations et les programmes de développement de carrière, et en prenant en compte les différences culturelles dans la gestion de la rémunération.

Une culture d’ouverture et d’inclusion est essentielle pour la gestion de l’interculturalité en entreprise. Les entreprises doivent créer un environnement de travail inclusif, où la diversité culturelle est valorisée et respectée. Cela peut être accompli en développant des politiques et des pratiques qui favorisent la diversité culturelle et en encourageant les échanges culturels entre les collaborateurs.

Enfin, la diversité culturelle doit être intégrée dans la stratégie de l’entreprise. Cela peut inclure la mise en place de partenariats avec des entreprises ou des organisations culturelles, l’adaptation des produits et des services de l’entreprise pour répondre aux besoins des différents groupes culturels, ainsi que la promotion de la diversité culturelle auprès des parties prenantes de l’entreprise.

En développant une culture d’ouverture et d’inclusion, en favorisant la communication interculturelle et en adaptant les processus de gestion des ressources humaines, les entreprises peuvent tirer parti de la diversité culturelle pour favoriser l’innovation, l’adaptabilité et l’engagement des collaborateurs. La gestion efficace de l’interculturalité en entreprise peut contribuer à renforcer la position de l’entreprise sur le marché et à augmenter sa compétitivité.

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Tribune : L’interculturalité, frein ou vecteur de croissance pour l’entreprise demain ? 10 Aug 2022 5:32 AM (3 years ago)

Les problématiques liées à l’interculturalité en entreprise ne sont pas nouvelles mais se sont amplifiées. En cause, la mondialisation liée à l’intégration d’espaces économiques nouveaux ; une digitalisation accrue bouleversant l’entreprise post-Covid. Les entreprises se trouvent aujourd’hui confrontées à une multitude de références et différences culturelles à gérer. Les entreprises se trouvent aujourd’hui confrontées à une multitude de références et différences culturelles à gérer.

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« Les Français et la raison d’être », une étude exclusive I&S / Viavoice 9 Aug 2022 5:30 AM (3 years ago)

Deux ans après la création de la loi Pacte et la publication en 2021 du rapport Rocher, I&S et l’institut d’étude Viavoice, ont interrogé plus de 1300 Français sur leur connaissance, leur vision et leur perception du concept de « raison d’être » des entreprises.  Les résultats de cette enquête nationale ont permis de dégager 7 grandes pistes de réflexion pour mieux intégrer leurs attentes, leurs besoins et leurs souhaits pour faire évoluer la mission des entreprises dans une optique sociale, environnementale et sociétale.  Pour en savoir plus sur « les Français et la raison d’être », télécharger gratuitement l’enquête sur le lien ci-dessous.  Bonne lecture

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Cultural evenings #2 « Écologie, le choix des mots : quel langage commun pour comprendre et agir ? » 12 Jul 2022 8:02 AM (3 years ago)

En partenariat avec Viavoice, la Maison de l’Europe, Influencia et Enderby, l’agence organise chaque trimestre, une série de débats consacrés à la place de la communication dans les problématiques sociétales contemporaines. L’idée étant de faire dialoguer des experts issus de champs disciplinaires complémentaires et des professionnels en alimentant leurs réflexions par des études exclusives réalisées avec notre partenaire ViaVoice.

Dans la première étude réalisée par I&S et ViaVoice sur « Les Français et la raison d’être » (à retrouver sur notre site) le constat est sans appel : le chemin qui reste à parcourir avant de reconstruire le lien entre les Français et les entreprises quant à leur vision, mission, engagement pour l’ensemble des parties prenantes est encore long.

Pour approfondir ce sujet, cette deuxième édition s’est interessée à la difficulté de communiquer sur ces sujets de transformation tant les mots que nous utilisons dans toutes nos communications – orales, écrites, implicites, explicites… – ne sont plus des vecteurs de compréhension mais des outils d’exclusion ou de destruction de sens.

Outre leur sens véritable, les mots transportent, reflètent et contribuent à créer des univers de représentations et de croyances culturelles, sociales et politiques… Or ces univers se transforment de plus en plus vite et créent ainsi de véritables bulles communautaires hermétiques, où la communication devient un sport d’entre-soi et les opinions et les discours se figent et se sédimentent. Les mots deviennent alors de véritables armes de confrontations culturelles, sociales et politiques, au-delà de leur définition propre.

Or pour faire société, il faut un corpus commun de mots partagés et compris afin d’échanger, d’enrichir, d’orienter débats, communications, opinions… Pour rétablir le lien entre entreprises et parties prenantes, entre société et citoyens, entre les marques et les consommateurs, cela nécessite un lexique compréhensible par tous, notamment pour un sujet majeur comme celui de l’écologie.

Si les Français semblent s’intéresser de plus en plus à l’écologie, qu’en est-il exactement quand on les interroge sur des mots largement utilisés dans le débat public pour expliquer les transformations environnementales en cours ? Entre jargon et simplification, quels mots pour parler de l’écologie à tous ? Quel langage commun pour comprendre et agir ?

Tel est l’objet de l’étude sur « les Français et les mots de l’écologie », à télécharger gratuitement sur le lien ci-dessous. 

Bonne lecture
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